L'auteur
La « petite histoire de la grande Histoire » a toujours passionné Gail Ranstrom, qui avoue sa préférence pour l’époque pétillante située sous la régence du futur George IV. Une période haute en couleurs qui lui permet de mettre en scène des héroïnes telles qu’elle les aime : rebelles, spontanées et courageuses.
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Géniale à relire
12/08/2018
Arm3529 -
Superbe
19/02/2014
everalice -
http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ Le résumé éditeur n'est franchement pas représentatif, car en fait, il reprend des éléments qui apparaissent dans Lady Libertine, le titre précèdant cet opus : les O'Rourke, famille bourgeoise modeste et bien éduquée, fraye effectivement dans le grand monde grâce aux initiatives d'une amie aristocrate. Bella, la sœur aînée, vient juste de faire un mariage un rien mal vu avec l'un des plus grands libertins de Londres. Gina, la seconde sœur, se remet doucement d'une expérience traumatisante, dans l'attente de son histoire (A Rake by Midnight).
C'est ici Lillian, dite Lilly, qui tient le haut du pavé. Peu farouche, franche et espiègle, Lilly est un jeune femme pleine de vie et de charme. Lorsque le roman commence, elle se pense doucettement amoureuse de Lord Olney, un grand lord qui présente bien, et surtout, qui satisfera son sens du devoir peu reconnu car ses pairs la méjugent en la prenant pour un joli petit oiseau de paradis blondinet.
C'est au détour d'un bal auquel il assiste clandestinement que Devlin la découvre, Devlin Farell, celui que l'on surnomme le Roi de Whitechapel, le jeune homme plein de mystère, de charme et d'une certaine grâce rencontré dans le livre précédent. Dev veut se rendre justice en se vengeant de lord Olney et de son père, le duc de Rutherford. Et pour cela, sans hésitation, il n'hésitera pas à sacrifier le bien-être de miss Lilly O'Rourke, sa réputation, et son honneur.
Mon sentiment
Beaucoup moins noir que le tome précédent, ce roman évoque une fois de plus un héros à la marge de la justice, qui a réchappé de la misère et de la délinquance par la force de sa volonté et par son grand sens de l'honneur. La société autour des héros n'est une fois de plus pas très belle à voir, mais de grands éclats de fraîcheur éclairent l'atmosphère de ce roman régence peu ordinaire : le charme certain des héros y est pour beaucoup, leurs relations sont teintées de franchise, d'agaceries, de délicatesse et de véritable et bel amour. Le caractère très peu conventionnel du héros y est pour beaucoup : il n'a absolument rien à voir avec les lords habituels, mise à part sa bonne éducation et cette authenticité a apporté beaucoup de fraîcheur au personnage.
Le titre VO, Unlacing Lilly, rend un hommage fameux à cet accessoire féminin incontournable qu'est le corset, lequel prend une tonalité toute de douceur érotique et tendre à la fois, symbolique aussi, puisqu'il évoque le sentiment d'évasion, de reconnaissance et de liberté que ressentent ensemble nos deux héros.
Les éléments romantiques, sensuels, et ceux liés à l’enquête policière qui retrace toujours la lutte contre la Confrérie du Sang sont si équilibrés, à mon avis, que la lecture du roman procure vraiment beaucoup de plaisir. A lire après Lady libertine, dont il est la suite directe. Définitivement une auteur que je continuerai de découvrir avec bonheur.
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C'est ici Lillian, dite Lilly, qui tient le haut du pavé. Peu farouche, franche et espiègle, Lilly est un jeune femme pleine de vie et de charme. Lorsque le roman commence, elle se pense doucettement amoureuse de Lord Olney, un grand lord qui présente bien, et surtout, qui satisfera son sens du devoir peu reconnu car ses pairs la méjugent en la prenant pour un joli petit oiseau de paradis blondinet.
C'est au détour d'un bal auquel il assiste clandestinement que Devlin la découvre, Devlin Farell, celui que l'on surnomme le Roi de Whitechapel, le jeune homme plein de mystère, de charme et d'une certaine grâce rencontré dans le livre précédent. Dev veut se rendre justice en se vengeant de lord Olney et de son père, le duc de Rutherford. Et pour cela, sans hésitation, il n'hésitera pas à sacrifier le bien-être de miss Lilly O'Rourke, sa réputation, et son honneur.
Mon sentiment
Beaucoup moins noir que le tome précédent, ce roman évoque une fois de plus un héros à la marge de la justice, qui a réchappé de la misère et de la délinquance par la force de sa volonté et par son grand sens de l'honneur. La société autour des héros n'est une fois de plus pas très belle à voir, mais de grands éclats de fraîcheur éclairent l'atmosphère de ce roman régence peu ordinaire : le charme certain des héros y est pour beaucoup, leurs relations sont teintées de franchise, d'agaceries, de délicatesse et de véritable et bel amour. Le caractère très peu conventionnel du héros y est pour beaucoup : il n'a absolument rien à voir avec les lords habituels, mise à part sa bonne éducation et cette authenticité a apporté beaucoup de fraîcheur au personnage.
Le titre VO, Unlacing Lilly, rend un hommage fameux à cet accessoire féminin incontournable qu'est le corset, lequel prend une tonalité toute de douceur érotique et tendre à la fois, symbolique aussi, puisqu'il évoque le sentiment d'évasion, de reconnaissance et de liberté que ressentent ensemble nos deux héros.
Les éléments romantiques, sensuels, et ceux liés à l’enquête policière qui retrace toujours la lutte contre la Confrérie du Sang sont si équilibrés, à mon avis, que la lecture du roman procure vraiment beaucoup de plaisir. A lire après Lady libertine, dont il est la suite directe. Définitivement une auteur que je continuerai de découvrir avec bonheur.
27/12/2017
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22/01/2018
jaja006 -