Victoria Parker

Bon livre. Une belle histoire de princesse, émouvant. Than enlève Luciana sous les yeux de son fiancé Auguste. D'abord furieuse, elle découvre en son prince du royaume opposé un homme attentif a son peuple, prêt au progrè. Than redevient l' homme dont elle est tombée amoureuse 5 ans plus tôt a Zurich, et surtout le père de son fils. Il lui avoue qu'il a renoncé au trône pour avoir refusé de tuer le père de Luciana. Alors elle lui révèle la vérité. D'abord choqué, il fera tout pour construire un avenir pour sa famille et son peuple...

Ce livre est détestable pour moi ! Je n'aime pas ses personnages et le traitement de l'histoire ! En fait, l'histoire elle-même !

Tout d'abord, quand je lis une histoire d'amour, je veux relativement des choses simples. Je n'aime pas ses romans où l'auteur va chercher dans des situations extrêmes des pretextes aux personnages pour ne pas se livrer.

Qui se livre à l'amour sans précaution pour son peitit coeur ?

Ce n'est pas déjà en soi assez compliqué ?

Bon, j'admets quand même quelques histoires pas simples, ce qui a été le cas de " Orageuses fillançailles" de la même auteure, qui n'est pas mon roman préféré loin de là, mais auquel je reconnais plusieurs qualités. Notamment le portrait de Eva l'héroïne et la manière d'amener l'intrigue avec un protagoniste assez vite séduit par le charme de la jeune femme, bienveillant, mais qui ne se rend pas compte qu'il est amoureux.

Mais là, on inflige au lecteur des histoires sordides de kidnapping, de mort de son frère mais à quoi bon ? Le héros Flinn est déjà en conflit avec l'héroïne, avant qu'elle ne pense qu'il est responsable de la mort de son frère. Quel est l'intérêt de toute cette fange que je déteste lire dans des romans que j'espère toujours tendres et si possible drôles voire polissons !

Qui plus est, sa résistance à aller dans l'amour que Finn ressent pour l'héroïne Seraphina se traduit pas le recours aux monologues intérieurx indirects longs et fastidieux qui rendent les personnages complètement mythomanes. Ce ne sont que diatribes sinueueses et parfaitement inutiles qui ont même obligé Harlequin à réduire la police de caractère pour faire rentrer tout ça dans le format Azur ! Cela fait une lecture pénible et l'histoire d'amour est en est moche au final car il est difficile de faire abstraction de toutes " pensées " discursives implantées dans le récit. Le personnage atypique de Séraphina, charmante et tendre conceptrice de véhicules de course aux allures de garçon manqué, et celui plus entendu de Finn, play-boy et plilote hors-pair des circuits automobiles promettaient de belles étincelles, pourtant ! C'est tellement dommage !

Bref, non et non, je ne conseille pas la lecture de ce roman-là.

Super moment de lecture. Les deux romans sont passionnants.