
Pour quelques touches de passion
Sous le soleil ardent de Provence, les larmes d’Eugénie ont un goût amer. Un goût de solitude et de désespoir. Son père vient de mourir, l’abandonnant seule à son sort avec de terribles dettes. Désormais, elle n’a plus le choix : pour survivre, elle va devoir vendre le magnifique domaine Gustavin et le château de ses ancêtres. Vendre pour se réfugier dans une petite maison du centre-ville d’Aubagne, dernier vestige de la fortune familiale. Oui mais voilà, la maison est occupée. Par un rustre de la pire espèce – un peintre, qui refuse de payer son loyer et de lui laisser le logis. Mais Eugénie n’a pas dit son dernier mot, ça non : le peintre va débarrasser le plancher, de gré ou de force ! Elle a déjà mille et une idées pour le convaincre de partir... [suite]